Amoureux du vintage et des produits rétro, cette boutique est faite pour vous ! Dans moins d’une semaine, le 19 mars, Dépendance Vintage ouvrira ses portes au 22, rue des Minimes (ancienne fromagerie Saint-Pierre). Sur place de la frippe essentiellement, des années 20 à la décennie 90, des objets anciens, pas de luxe non, juste des jolies choses colorées et des histoires à raconter !

À l’origine de cette ouverture, Mélanie, une passionnée originaire du Beaujolais qui chine et s’intéresse aux articles « vintage » depuis près de trente ans. Après avoir travaillé dans le monde du spectacle et dans l’architecture d’intérieur, c’est pendant le confinement que lui vient l’idée d’ouvrir sa collection au public. « Tout le monde venait chez moi pour voir ce que j’avais et repartir avec quelque chose, je me suis donc dit pourquoi pas ouvrir une boutique avec mon stock personnel ? »

Et avec ses 200 m2 consacrés aux fruits de ses trouvailles dans les brocantes et d’objets de famille récupérés, du stock Mélanie en a. Des objets divers glanés ça et là, récupérés dans la famille aussi pour beaucoup d’entre eux. « Plus que l’objet en lui-même, c’est son histoire qui m’intéresse. Je cherche toujours à comprendre d’où ça vient, à quoi ça sert, et à qui il a pu appartenir. Chaque chose a sa propre histoire, ce qui fait ce qu’elle est aujourd’hui après avoir traversé les époques et même les siècles pour certaines. Avec cette volonté de transmettre tout ce que je sais quand une autre personne le récupère. Sur les brocantes, je prends beaucoup de temps pour échanger avec les vendeurs et apprendre plein de choses. »

Dépendance Vintage lui permettra d’offrir une belle vitrine en centre-ville à sa collection personnelle (des vêtements, de la vaisselle, du mobilier, des objets de la vie courante…), « même si ce n’est pas toujours évident de se séparer de belles choses et de mes coups de cœur ». La boutique qui se veut être un lieu de convivialité et d’échange dans un quartier en pleine restructuration, sera ouverte les mardi et mercredi matin, les jeudi, vendredi et samedi toute la journée, avec des nocturnes à l’étude également, sans oublier le dimanche matin, moment propice pour les chineurs.